Soutien-gorge : attention danger !
Le soutien-gorge multiplie par 125 le risque de cancer.
Une étude des Docteurs Sidney Ross Singer et Soma Grismaijer sur les femmes qui ont un cancer du sein, montre que 3 sur 4 portent régulièrement un soutien-gorge contre 1 femme sur 168 chez celles qui n’en portent jamais.
Le risque d’avoir ce cancer est donc 125 fois supérieur si l’on porte un soutien-gorge.
Ces recherches mettent aussi en évidence le lien entre la durée du port et les pathologies déclarées.
Une autre étude médicale a mis en évidence que le soutien-gorge compresse les divers ganglions et canaux lymphatiques, les toxines ne peuvent plus être éliminées naturellement par le drainage lymphatique, et s’accumulent dans le sein ce qui provoque kystes, fibrokystes et tumeurs cancéreuses.
Il est bien connu que la maladie s’accompagne d’une augmentation de température, entretenue par le soutien-gorge. De plus, cet accessoire réduit l’exposition au soleil et donc la production de mélatonine qui est une hormone anti-cancéreuse (en termes de santé, la nudité devrait être obligatoire).
Une étude de la prestigieuse Université de Harvard, avait déjà mis en évidence en 1991 le fort taux de cancers du sein chez les femmes à soutien-gorge.
Le soutien-gorge affaisse les seins.
Diverses études américaines, anglaises, japonaises, et françaises le démontrent unanimement, depuis 1978.
Plus récemment, le Pr Jean-Denis Rouillon l’a confirmé : « L’arrêt du port du soutien-gorge est bien supporté par les femmes, en termes de confort et d’esthétique. Contrairement aux idées reçues, le sein ne tombe pas mais il se raffermit, remonte, et la qualité de la peau s’améliore. »
En termes de physiologie, les ligaments Cooper et les muscles peaussiers ne travaillent plus quand on porte un soutien-gorge, de la même manière que rester allongé toute la journée fait fondre les muscles (ceci explique pourquoi on peut sentir un tiraillement au début de l’abandon du port de ce sous-vêtement).
Sur un groupe de 50 femmes de 18 à 35 ans, le Pr Rouillon a mesuré que « le mamelon remonte en moyenne de 7 mm en un an par rapport à l’épaule ».
Laëtitia Pierrot a rédigé sa thèse en 2003 sur le sujet – ses résultats furent confirmés en 2006 sur 250 femmes. Elle-même handballeuse de haut niveau, a demandé à 33 sportives de haut niveau, âgées de 18 à 25 ans, d’enlever leur soutien-gorge dans la vie quotidienne et à l’entraînement. De 55 % qui évoquaient un inconfort en début d’étude, les femmes sont 88 % à dire avoir gagné en confort à la fin de l’année, et aucune ne se plaint de douleurs après 3 ans. Loin d’assister à un affaissement de la poitrine, les chercheurs constatèrent une diminution de la distance épaule-mamelon et une réduction des vergetures.
Malgré leurs activités sportives, l’axe du mamelon par rapport à l’horizontale a augmenté en moyenne de 180% en un an.
Aucune femme n’a souhaité revenir au soutien-gorge à la fin de l’expérimentation.
L’équipe d’athlétisme de Suède.
Pour les femmes à forte poitrine, qui disent en général que dans leur cas elles ne peuvent pas se passer de soutien-gorge, les études sur 5 ans concluent à « l’absence de douleur aux épaules si l’on n’utilisait plus de soutien-gorge. 79 % des patientes ont ensuite décidé de décharger le poids de leur poitrine de leurs épaules de façon permanente en éliminant définitivement l’utilisation de soutien-gorge parce qu’elles se sentaient libérées. »
Le danger chez les adolescentes.
La publicité vante le produit en prétendant qu’il « raffermit et soutient les seins », qu’il assure « la santé de vos seins », qu’il est « l’outil indispensable de votre séduction ».
Or, c’est exactement le contraire qui se passe.
Chez la jeune fille, le soutien des seins par un moyen artificiel fait que les éléments anatomiques de suspension du sein, à la fois musculaire (platysma) et conjonctif (fascias) ne se renforcent pas lors de la croissance par la pesanteur et les contraintes mécaniques, ils évoluent irrémédiablement vers la ptôse.
Pour revenir sur l’aspect esthétique, chacun et chacune plaît à un certains nombre de personnes, mais jamais à toutes. Certaines femmes qui ont des petits seins plairaient aux hommes qui leur correspondent, mais certaines n’attirent pas leur attention en utilisant des artifices (rembourrages, push-up) faisant croire à une poitrine plus grosse. En revanche, elles plairont à des hommes qui ne leur correspondent pas psychologiquement – on retrouve exactement les mêmes errances, en bien pire, avec les augmentations mammaires par des interventions de chirurgie plastique.
On ne voit pas de défilé de haute couture avec des femmes portant des soutiens-gorges, et pourtant les top-models ne sont pas sélectionnées par des poitrines opulentes (on constate dans la presse people que les modèles, les actrices et chanteuses qui ont des coachs pour les conseiller utilement, ne portent pas de soutien-gorge).
Séduire avec bonheur ne peut résulter que de l’authenticité, en se montrant exactement comme on est, et en s’acceptant tel quel (il existe des thérapies simples et peu coûteuses pour y parvenir pour les personnes ayant subi des « traumatismes » plus ou moins importants ayant créé chez eux des complexes).
Le discours officiel.
Tous ces faits, bien connus des autorités sanitaires, sont pourtant étouffés par les pouvoirs publics, parce que d’énormes intérêts financiers sont en jeu – et avec eux des emplois, de la collecte de T.V.A., etc.
Pire encore, le soutien-gorge fait partie de l’ « uniforme » obligatoire de certaines professions – soit par contrat, soit par la « décence » devenue obligatoire en fonction de critères des sociétés normatives (France, U.S.A., Royaume-Uni, …), alors que porter un soutien-gorge donne 12 fois plus de risques de cancer que de fumer ! (les statistiques montrent que ce sont plutôt les fumeuses qui portent des soutiens-gorges, ces deux attitudes étant la conséquence des mêmes refoulements).
En Inde ou au Japon par exemple, où on s’est bien rendu compte que les femmes vêtues à l’occidentale étaient beaucoup plus malades que les autres, il existe de campagnes sanitaires qui incitent au retour aux vêtements traditionnels seins libres, expliquant que pendant la marche, le mouvement naturel du sein crée un « massage » nécessaire qui fait circuler la lymphe.
Le soutien-gorge, équivalent judéo-chrétien du foulard islamique, est considéré comme l’enfermement de la féminité par certaines énergies masculines guerrières et possessives. L’enlever ou le brûler symboliquement en place publique, est signe pour les femmes de la liberté sexuelle retrouvée, de leur autonomie intellectuelle, de leur indépendance et de leur volonté de secouer les archaïsmes de la société.
Mouvement FEMEN, ici en Ukraine.
Les personnes tentées par un dépistage sont instamment invitées à lire notre étude sur l’illusion coûteuse du dépistage.
SAUVEZ DES VIES : FAITES LIRE CET ARTICLE À VOS AMIES.
Quelques chiffres et réflexions :
♠ Premier cancer féminin, le cancer du sein est aussi la principale cause de décès des femmes de 35 à 65 ans. 400.000 femmes en décèdent chaque année. Il touche des femmes de plus en plus jeunes, et plus de 50.000 cas nouveaux sont déclarés chaque année (la vente des soutiens-gorges est aussi en augmentation corrélative).
♠ Les françaises sont les premières acheteuses de soutiens-gorges d’Europe.
♠ Avec les délocalisations et le développement de la concurrence, les sous-vêtements sont de plus en plus fabriqués en Chine, avec des matières premières très économiques mais bien plus toxiques que celles normalisées en Occident.
♠ Les culottes et slips font subir au corps les mêmes toxicités et entraves que les soutiens-gorges.
Bibliographie :
♦ Le Soutien-gorge et le Cancer du sein : Une lingerie de séduction dangereuse ? par le Dr Sidney Ross Singer et le Dr Soma Grismaijer.
En vente sur AMAZON.
Titre original : Dressed To Kill: The Link between Breast Cancer and Bras, en vente sur AMAZON.COM.
♦ Le cancer, un fléau qui rapporte par le Dr Nicole Delepine.
En vente sur AMAZON.
♦ Ces vêtements qui nous tuent par le Dr Anna Maria et le Dr Brian R. Clément.
En vente sur AMAZON et chez TREDANIEL.
Titre original : Killer Clothes, en vente sur AMAZON.COM.
Voir l’historique des études citées.