Fellation et cancer du sein
Un risque divisé par 5
C’est en 2003 que, pour vérifier des constatations cliniques oncologiques empiriques, l’Université américaine de Caroline de Sud a pu constater que les femmes qui pratiquaient la fellation, à raison d’une ou deux fois par semaine, divisaient le risque de cancer du sein par 5.
L’étude a été pratiquée sur 15.000 femmes : 6.246 femmes âgées de 25 à 45 ans qui avaient pratiqué la fellation de manière régulière au cours des 5 à 10 années précédentes, et 9.728 femmes qui dans les mêmes critères ne la pratiquaient que peu ou pas du tout.
Dans le premier groupe, 1,9 % avait été touché par le cancer du sein, contre 10,4 % dans le second groupe. L’étude conclut aussi que les femmes pratiquant la fellation ont un meilleur moral que les autres.
Prompt à s’en féliciter, le Dr B. J. SOONER, de l’École de médecine John Hopkins, avait aussitôt déclaré : « Je suis assez étonné par les résultats de cette étude, mais également agréablement surpris que les chercheurs aient trouvé un moyen relativement simple de diminuer les risques de cancer du sein ».
Le Dr Inserta SHAFTEER, qui avait participé à l’étude, précisa bien que « ce n’est que par une pratique régulière de la fellation que l’on peut réduire de manière significative le risque de cancer ».
L’avis de notre spécialiste :
« Cette Université est réputée pour son sérieux et ses chiffres sont parfaitement cohérents avec mes observations.
La plupart des études scientifiques oublient cependant de tenir compte de la loi des coïncidences, et elles inversent souvent la relation de causalité.
● La coïncidence, c’est l’existence d’un autre facteur actif (qui peut même masquer les contre-effets de la cause déclarée, par exemple quand on dit que la limitation de vitesse diminue les accidents alors que les études sincères montrent qu’elles les augmentent, mais qu’en même temps les améliorations technologiques et les infrastructures font que les accidents diminuent plus que l’augmentation).
● L’inversion de causalité, c’est quand on confond la cause avec l’effet : Est-ce qu’on est positif parce qu’on a gagné, ou est-ce qu’on a gagné parce qu’on était positif ? Est-ce que je suis heureuse parce que j’ai fait l’amour, ou est-ce que j’ai fait l’amour parce que je suis heureuse ?
Ici, il y a 3 dimensions supplémentaires à prendre aussi en compte :
◊ Les femmes épanouies vivant dans la liberté sexuelle sont celles qui pratiquent souvent la fellation, parfois d’ailleurs parce qu’elles ont plusieurs partenaires. Ces femmes ne sont donc pas celles qui vivent dans les facteurs déclenchants du symptôme (stress traumatique, frustration sexuelle, relation conflictuelle avec le conjoint).
◊ Pendant la fellation, l’homme caresse souvent les seins de la fellatrice. Ce « massage » favorisé par la position, transmet aux seins un message d’utilité et d’amour, qui est protecteur des maladies (le cancer comme toutes les autres).
◊ Toujours concernant ce « massage », il améliore le drainage lymphatique – la première cause physique du cancer du sein est le port du soutien-gorge qui coupe le drainage lymphatique naturel et accumule ainsi les toxines dans les masses mammaires.
En résumé, si la fellation a effectivement des effets positifs sur le moral et la santé, le fait d’être de bonne humeur dans un environnement sympathique – donc en bonne santé – crée une dynamique de vie où la femme prend plaisir à gratifier sexuellement les hommes, notamment par la fellation, et où elle reçoit logiquement en retour les mêmes satisfactions. »