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Chamanisme et sécurité routière

Les informations sont divergentes, le public est de fait partagé sur les décisions politiques, il est devenu nécessaire de savoir et de comprendre. Même si le sujet paraît de prime abord peu « chamanique », toute décision gouvernementale influe sur la vie de citoyens, souvent comme ici bien plus qu’il n’y paraît. Posons-nous les vraies questions et posons-les aux personnes compétentes :

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Le permis à points est-il juste ?

Eric : « Je fais 40.000 km/an, c’est absolument obligé que je perde mes points. Juste un exemple : quand on dépasse un camion, il cache les panneaux ; en Allemagne ils sont à gauche et à droite, pas en France. Il y a des gens qui font beaucoup d’infractions mais peu de kilomètres, ceux-là ne risquent rien ».

Le permis à points ne sanctionne que ceux qui roulent beaucoup, ce sont statistiquement ceux qui ont peu d’accidents.

Mohammed : « J’ai perdu tous mes points mais je continue à conduire car je ne peux pas faire autrement pour travailler, j’habite loin de mon travail. Je conduis chaque seconde avec la peur au ventre ».

Jean-Jack, 23 ans : « Je passe pas le permis, je conduis sans. Sinon de toutes façons je vais me le faire taxer par les flics, autant pas payer un permis pour ça ».

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Il apparaît que le permis à points stresse les usagers, leur créant donc des maladies et des peurs, ce qui est n’a aucun avantage sinon d’obtenir une meilleure obéissance à l’autorité (la peur n’aide pas à conduire mieux).

Il a mis sur les routes de nombreux conducteurs sans permis, qui sont les plus dangereux. Il n’a pas fait baisser la mortalité routière et les chiffres des pays où il n’existe pas sont meilleurs (Suisse etc.).

Le fait que de nombreux conducteurs parviennent à éviter les sanctions, crée un injustice (par exemple les personnes qui font « sauter » les PV, ceux qui dénoncent mensongèrement un conducteur étranger, ceux qui immatriculent leur voiture au nom d’un parent qui n’a pas de permis, …).

Le permis à points apparaît donc comme une mesure servant à circonvenir le citoyen par la peur de perdre.

Le contrôle de vitesse est-il pertinent ?

Source du Ministère : 90% des verbalisations concernent des dépassements de moins de 10% de la vitesse autorisée.

On constate deux types de conducteurs ayant des vitesses excessives au regard des circonstances :

a) Celui qui cherche à braver la loi (conducteur alcoolisé, conducteur révolté, …)

b) Celui qui se sent en impunité (corps diplomatiques, dépositaires de l’autorité, hommes politiques, …)

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Fred, gendarme : « Je conduis presque toujours à fond la caisse, d’abord parce que c’est parfois nécessaire dans mon métier, ensuite parce que je ne risque rien. Les gens conduisent mal parce qu’ils conduisent lentement. Pour avoir le permis il suffit de conduire lentement, on ne demande pas de conduire bien. C’est encore le contraire pour le permis des grosses motos et on voit bien la différence, leurs accidents viennent presque toujours des automobilistes incompétents ».

Laurent, police urbaine : « On a des ordres pour verbaliser, on va donc se placer là où la vitesse est la plus possible, donc là où il n’y a aucun danger. On ne se met jamais devant une école car les automobilistes y roulent doucement, on n’attraperait personne ! Les gens disent rien et nous on n’a pas le droit de contester les ordres, alors on n’a pas le choix ».

Marcel, retraité : « Sur cette nationale, il y a eu 2 accidents, 2 jeunes complètement bourrés qui roulaient à 180. Le préfet a limité la vitesse à 50. Ca ne change rien le samedi soir, mais j’en connais plus d’un qui a perdu des points ici. L’irresponsabilité d’une seule personne pénalise tous les autres avec cette façon de faire propre à la politique française et que nos voisins copient ».

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On peut penser que l’absence de législation diminue l’impulsion vers les conduites dangereuses, c’est le constat qu’on fait partout et sur tous les sujets puisque certains états sont plus permissifs sur certaines questions (sexe, cannabis, …) et de fait ils ont moins de difficultés avec.

En Angleterre, on a vu la mortalité routière baisser lors de la suppression massive des radars fixes, par le fait que les conducteurs ont moins peur et donc ils sont plus centrés sur la conduite. Les contrôles coûtent cher, à la fois en moyens techniques et humains (les forces de l’ordre délaissent la vraie criminalité pour s’occuper de ces contrôles), à la fois en pouvoir d’achat des automobilistes (leur argent payé en contraventions manque à leur budget et ne rentre pas dans le circuit de la production).

Comme le montrent régulièrement les spécialistes en accidents à la télévision, les radars sont fixés aux endroits qui flashent le plus, et pas aux endroits dangereux (ajouté au fait qu’ils flashent l’arrière donc qu’on ne s’intéresse pas à l’identité du conducteur mais seulement à celle du propriétaire qui paie l’amende, on peut en déduire que l’intérêt du gouvernement est seulement d’encaisser le maximum d’argent).

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La limitation de vitesse est-elle utile ?

Sur autoroute, il n’est pas contesté que la première cause de mortalité est la somnolence, qui vient des limitations de vitesse (un choc lorsqu’on est endormi est d’ailleurs généralement fatal).

On constate sur les routes anglaises une mortalité bien moindre qu’en France alors que la vitesse autorisée est supérieure.

Clémence, médecin : « Contrairement à ce que disent les sociétés d’autoroutes, faire des pauses ne sert pas vraiment. L’inaction augmente au contraire la somnolence. Celle-ci vient de ce qu’on n’a pas besoin de son attention, par exemple quand on roule à vitesse constante sur un tracé rectiligne ».

Hervé : « J’ai beaucoup conduit en Allemagne, quand on est maître de sa vitesse, on ne s’endort pas. Au départ et à l’arrivée en France, j’étais souvent pris par la somnolence. On peut me dire ce qu’on veut, ceux qui ont conduit sans limitation savent que j’ai raison et ils voient bien la différence. Et les chiffres sont éloquents ! Les autres ne savent pas et ils feraient mieux de se taire au lieu de se faire complices d’un système qui ne cherche qu’à couper les ailes des citoyens ».

Philippe, transporteur : « Parfois, il faut accélérer pour éviter un accident, mais maintenant j’ai le réflexe de freiner parce que j’ai peur. L’autre jour, ça a cogné et un garçon de 14 ans a été blessé. Je me sens un peu coupable mais le vrai coupable c’est celui qui a créé les limitations de vitesse, avant ça on vivait beaucoup mieux ».

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Les études, notamment allemandes, démontrent effectivement que les portions non limitées sont nettement moins accidentogènes que les limitées.

La limitation impose aussi des modes de conduites dangereux.

Nicole « On m’a appris qu’il fallait regarder au loin pour anticiper et conduire posément. C’est pas possible quand on a les yeux rivés sur le compteur ! On doit conduire instinctivement, parfois plus vite que c’est autorisé et parfois plus lentement, sinon on devient des robots et on ne sait plus conduire ».

La Wallonie a fait une étude : les radars créent plus d’accidents par l’effet « coup de frein«  qu’il n’y en avait précédemment.

Jean-Michel : « Quand je vois un radar, je pile. Même si je suis à 60 et que c’est limité à 90, c’est devenu un réflexe, même quand j’ai vu le panneau avant. Bon ben tant pis pour le gars derrière ».

En France, on a constaté depuis la limitation en 1973 qu’après une effet d’annonce, les chiffres des accidents remontaient systématiquement. Alors il y a de nouvelles mesures coercitives et on rentre dans l’engrenage de la répression qui déresponsabilise le citoyen (c’est le moyen principal utilisé par les forces obscures pour prendre le pouvoir sur les personnes).

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Un chaman amérindien : « Un être humain ne doit accepter qu’on ne lui impose une limitation d’aucune sorte. Dès qu’on l’accepte, on n’est plus humain ».

Eugene E. Whitworth : « Si l’on fixe une limite à une organisation, déterminée en fonction du niveau de capacité de l’homme ordinaire, ne l’astreint-on pas alors à un voile de médiocrité qui devra être porté jusqu’à la fin des temps ? »

La baisse des limites diminue la productivité parfois de plusieurs milliards à la fois – elle est déjà très mal en point –  et augmente la pollution.

Marc, spécialiste automobile : « Quand on a baissé la vitesse sur le périphérique parisien, on a annoncé que ça baisserait les accidents de 23%, la pollution, et le bruit. Bien sûr ça n’a pas diminué les accidents, mais ça a permis de justifier la mesure qui est passée sans contestation. Pour le bruit et la pollution, il faut savoir que la plupart des véhicules vont être sur un rapport inférieur à 70 km/h par rapport à 80 km/h, donc le moteur va faire plus de tours au kilomètre et à la minute, ce qui veut dire que la quantité de polluants rejetés est supérieure et le bruit aussi ».

Cette explication, aussi simple qu’évidente, montre pourquoi les décisions politiques de diminuer la vitesse autorisée lors des pics de pollution, ne font que l’augmenter jusqu’à ce que le vent la chasse de lui-même.

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A quoi servent les limitations de vitesse ?

Notre contact au Ministère des transports : « On nous demande de justifier les limitations en disant que dès qu’un véhicule est en mouvement, l’accident est dû à la vitesse. Ca permet de gonfler les chiffres. Mais même comme ça ces chiffres dénaturés disent que les accidents sont produits par la somnolence et les véhicules articulés sur autoroute, et par les 2 roues sans formation en ville ».

Nicole, maire dans le 92 : « La police devrait servir à assurer la sécurité des habitants, et pas à les verbaliser ».

Jean-Pierre, député : « Les gouvernements veulent tous un peuple obéissant. Les obliger à respecter le rythme qu’on leur impose, que ce soit à l’école ou sur la route, c’est le moyen qu’ils ont trouvé ».

Marianne, psychologue : « Le mal de dos a augmenté depuis les radars, sans s’en rendre compte on contracte maintenant le dos de peur, quand on est sur la route ».

Alain, maire en banlieue : « Le but est de dégoûter les gens de prendre la voiture. On leur fait croire qu’elle pollue alors que le CO2 n’est pas un polluant ! On leur met des PV. On augmente les prix, les taxes (dans les 400% pour l’essence, dans les 50% sur les assurances…) mais il y a plein de gens qui sont bien obligés de la prendre même s’ils préfèreraient prendre le RER ».

Rose, cadre d’un parti politique : « La réalité, c’est que la politique dite écologique initiée par la Mairie de Paris en 2001 a fait que le nombre de cancer des poumons y a augmenté de 20% en 10 ans, ce qui veut dire qu’il y en a une quantité phénoménale en gestation. Certains disent que ça vient de la prime à la casse mais elle est bien plus tardive et c’est faux car seulement 54% des véhicules achetés alors était diesel contre 70% pour l’ensemble des véhicules achetés ».

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Patrick, accidentologue, expert-judiciaire : « Il y a une baisse continue des accidents. Les politiciens disent que c’est grâce à eux, mais en réalité ça vient des améliorations techniques comme le GPS, l’ABS, l’ESP, les airbags et tout ce qu’on ne voit pas mais qui améliore chaque jour considérablement les voitures. L’obligation de contrôle technique a aussi retiré pas mal d’épaves roulantes de la circulation ».

Aboubakar, moniteur de conduite : « La conduite économique est plus dynamique. Il faut accélérer franchement et rouler ensuite à vitesse stable élevée, c’est comme ça qu’on consomme et qu’on pollue le moins ».

La sécurité routière dépend de qui, de quoi ?

Réjean, chaman : « Comme les humains disposent d’un libre-arbitre, ils peuvent influer sur leur façon de mourir par exemple. Mais ça ne changera pas grand-chose : si on réduit globalement une façon de mourir, la personne qui devait décéder mourra d’autre chose ».

Bénédicte, psychiatre : « C’est très facile d’émouvoir l’opinion en montrant une petite fille écrasée par une voiture, mais ça reste de la manipulation. Ceux qui font ça ne croient pas du tout aux Esprits, et pourtant ça paraît évident qu’ils existent ! Il n’y a pas de victime « innocente », le sang versé l’est toujours à dessein, même si on ne le comprend pas forcément ».

Alain, psychiatre : « Il existe une ligue contre la violence routière, mais en réalité ce sont eux qui prônent les mesures qui créent la violence routière. Rouler vite n’est pas une violence ; taper sur son voisin ou sur sa femme parce qu’on est excédé des limitations et des contrôles en est une. Ces confusions sont symptomatiques de notre époque et elles sont entretenues par les politiques que ça arrange et les médias qui se font manipuler ».

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Kevin, politologue : « Les gouvernants tirent sur la ficelle jusqu’à ce qu’elle casse. Ils réduisent les libertés en douceur en faisant croire qu’ils les augmentent. C’est un jeu d’augmenter petit-à-petit les portions avec des limites spéciales, de faire durer les limites temporaires, de faire des limites expérimentales, de diminuer les limites une à une… et quand ça se fait graduellement la population ne proteste pas. Les bonnets rouges qui ont brûlé les radars n’ont pas été condamnés pour ça, cela prouve que même les juges ne veulent plus être complices de ce système dictatorial et manipulateur ».

Alexandra, psychologue : « Ce sont les personnes le plus malades, spirituellement et psychologiquement, qui veulent le pouvoir. C’est la raison pour laquelle leurs décisions sont souvent contraires aux lois naturelles donc les plus nuisibles pour la population ».

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Quelles sont les solutions pour améliorer la sécurité routière ?

Si on recherche cet objectif, les possibilités existent :

a) Augmenter l’attention du conducteur : en supprimant les limitations, empêcher fermement l’usage du téléphone au volant (on n’est jamais obligé de téléphoner en voiture), interdire de fumer en voiture, …

b) Augmenter la responsabilité du conducteur (les pays qui ont de bons résultats ont tous abandonné les politiques répressives) en valorisant la conduite rapide et le suivi (indication de la vitesse conseillée au lieu d’obligatoire, stage obligatoire tous les 5 ans).

c) Améliorer la formation des conducteurs, des 2 roues et des piétons : abaisser l’âge du permis voiture, installer les barrières « suédoises » qui coûtent moitié moins cher et sont incroyablement efficaces, mieux former à l’école pour apprendre à traverser devant un autobus, créer un permis pour les scooters, faire des formations à la conduite rapide, mettre des feux qui passent à l’orange avant le vert…

d) Améliorer le secours : en Allemagne, les hélicoptères servent à transporter les blessés à l’hôpital, en France ils servent à sanctionner les automobilistes.

e) Communiquer sur l’entretien des véhicules (de nombreux accidents d’autoroute sont dus à l’éclatement d’un pneu, les pannes obligent à stationner sur la BAU qui est très dangereuse, …)

Jean-Christophe, maire d’une grande ville : « La sécurité routière, c’est de la poudre aux yeux pour occuper les gens à regarder ailleurs que les vrais problèmes comme le pouvoir d’achat, la pollution agricole, la mauvaise alimentation, la mauvaise gestion de l’Etat… C’est aussi une façon de culpabiliser le citoyen pour qu’il ne critique pas ses élus. Il y a 20 fois plus de morts par le tabac ou l’obésité, et personne ne s’en occupe sérieusement ».

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Deux chiffres pour terminer : un an après le limitation du périphérique parisien à 70 km/h au lieu de 80, les chiffres officiels constatent :

– Un nombre de morts MULTIPLIÉ PAR DEUX.

– Un nombre de contraventions MULTIPLIÉ PAR QUATRE.

Ils ont donc décidé de POURSUIVRE LES LIMITATIONS.

Merci à ceux qui nous ont aidé dans la rédaction de cet article.

Voir aussi l’article de 40 millions d’automobilistes sur l’expérience de Rennes

et la vidéo sur la sécurité routière en Angleterre.